Rome, Florence, Venise
Rome, Florence, Venise
« Rome, Florence, Venise » réunit 3 essais qui furent publiés en volume après la mort de Simmel, en 1922. Simmel s’y montre plus proche du « flâneur » de Benjamin, qui va « herboriser sur le bitume » que des sociologues contemporains. Considérant chaque ville comme une œuvre d’art, il assume une position de « touriste pensant », qui médite sur ce que la ville donne à voir et cherche à définir la tonalité affective de chaque cité.
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