N’y touchez pas !
N’y touchez pas !
Si José Rizal, le plus illustre des écrivains philippins, Indio métissé de Japonais, de Chinois, fusillé par les Espagnols à trente-cinq ans, coupable notamment d’avoir écrit ce roman qui met en cause le colonialisme espagnol et la tyrannie exercée aux îles par le clergé régulier, laissa dans l’esprit de Jaurès « une sorte de frisson sacré » ; si le poète assassiné fut un moment chez nous figure légendaire, après 1896, son œuvre nous est restée lettre morte. Voici enfin restituée l’œuvre intégrale.
Jean-Luc –