Les orangers de Bagdad
Les orangers de Bagdad
Née en 1971 d’un père chrétien irakien et d’une mère britannique, Leilah Nadir n’a jamais pu fouler le sol de l’Irak. La diaspora l’a éloignée de ses racines ; les guerres l’en ont cruellement coupée. Ibrahim, son père, n’est pas retourné dans son pays natal depuis les années 1960, et dans sa mémoire cette patrie est aux dimensions d’un jardin d’orangers : celui de la maison où il a grandi à Bagdad.
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