J’avoue que j’ai vécu
J’avoue que j’ai vécu
« Peut-être n’ai-je pas vécu en mon propre corps : peut-être ai-je vécu la vie des autres », écrit Pablo Neruda pour présenter ces souvenirs qui s’achèvent quelques jours avant sa mort par un hommage posthume à son ami Salvador Allende. Les portraits d’hommes célèbres — Aragon, Breton, Eluard, García Lorca, Picasso — côtoient les pages admirables consacrées à l’homme de la rue, au paysan anonyme, à la femme d’une nuit.
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Aline –